Tu parles trop ! Tu parles trop ! Tu parles trop… tu n’écoutes plus personne, et plus personne ne t’écoute !
Ça c’est la façon de le dire de La Rue Ketanou dans cette chanson rigolote.
Et sinon il y a un certain Marshall Rosenberg qui recommande autre chose lorsqu’on veut interrompre une personne qui « utilise plus de mots que l’on aimerait en entendre » (c’est sympa dit comme ça hein ? )
Ça peut donner quelque-chose comme ça :
« Excuse-moi, désolé de t’interrompre… mais je veux vraiment être sûr de me connecter à ce tu aimerais que j’entende, quand tu me dis cela. »
« Es-tu en train de me dire que tu te sens en colère en ce moment-même, quand tu repenses à la façon dont ça s’est produit ? »
L’intention, c’est de retourner à ce qui est vivant dans la conversation en se connectant à ce qui est vivant là tout de suite chez l’autre.
Ce sujet de l’interruption, on en avait parlé en stage chez Thomas en avril (Gilles Boudier) et le sujet est revenu sur la table récemment alors que je discutais du livre de Marshall avec des amis
et qu’ils trouvaient compliqué, voir même « arrogant » () de couper l’autre !
Du coup j’ai souhaité retourner à la source pour vérifier ce qu’en disait notre cher Marshall.
J’ai cherché le moment dans le cours de 10h dispo sur YouTube (https://www.youtube.com/playlist…) et j’ai sélectionné un petit morceau choisi de – de 5 minutes où il parle de ce thème.
It’s in english, but zere iz soubtiteulz in french (des sous-titres en français que j’ai calé sur la vidéo, accessible via la ) :
Bonne écoute !